dimanche, juillet 16, 2006

par SEBASTIEN CARPENTIERS, le samedi 15 juillet 2006

Jour magnifique, symbole de la victoire des hommes sur le profit, et des faibles sur les exploiteurs de tous bords ; revanche des opprimés et des déshérités sur les puissants.

Lever trop matinal pour un samedi.

Première mission : allumer la machine à café pour la femme qui a dormi avec moi.



Matinée essentiellement consacrée à des travaux ménagers, tels l’aspiration de poussière, le déplacement d’objets, le nettoyage des sols ; petites obligations qui cimentent le couple, favorisent l’hygiène et valorisent notre logement.

Et illustrent, surtout, une prétention fatigante à vouloir faire les choses soi-même.

Déjeuner en terrasse.

14:57. Schumi, premier en 1:15.493. Merde.
Nous regardons cette catastrophe majeure se produire, en direct, avec Nicolas, rentré de Luxembourg. « Est-ce que le luxe embourgeoise ? », lui avais-je demandé, platement, en ouvrant la porte.

Deuxième mission : soins à apporter aux plantations.



Ci-dessus, portrait de groupe avec bougainvillée, vigne et olivier écrasés sous soleil brûlant.

Longue promenade dans les champs, jusqu’en fin d’après-midi.
Mon amoureuse marche pieds nus dans la terre sablonneuse ; elle devra se laver les pieds au retour.

Dîner en terrasse.
Comment peut-on expliquer qu’une salade de feta, olives, tomates, huile de la réserve précieuse, origan, échalotes et ciboulette du jardin, soit transformée par le simple fait de couper extrêmement fin ses ingrédients ?

La fatigue m’emporte au lit assez tôt.

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

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»

19:01  

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